Mélangeant habilement le rock aux musiques traditionnelles, Yew se forge très vite la réputation d'un groupe de scène. Véritables ovnis dans le milieu culturel wallon, les cinq musiciens déjantés assurent plus de 150 concerts en 5 ans. Avec des succès au Forum de Liège, au Gouvy Jazz Festival, aux fêtes de la musique, aux Francofolies de Spa, ou encore au Spirit of 66, Yew devient peu à peu fou de scène et communique son amour pour le live avec un public de plus en plus vaste.
« White swan on black water » est sorti en février 2010. Tout jusque dans le titre illustre l'opposition d'une musique oscillant entre un rock aux guitares enragées et des racines folks puisées dans les cultures irlandaises, écossaises et bretonnes. Sur l'album, Yew s'est également donné les moyens d'expérimenter les sons et les harmonies.
Fort de ce nouvel opus, le groupe imposera son rock 'n roll enflammé sur plusieurs grandes scènes et festivals dont le Brussels Summer Festival !
SHOWSTAR
Originaire de la ville belge de Huy, Showstar est un nom bien connu des playlists de radios nationales ; mais aussi des habitués des festivals d’été belges, français et même anglais. Depuis le début des années 2000, le groupe traque la chanson pop parfaite, capable de plaire aux ménagères et aux étudiants, aux pdg et aux automobilistes coincés dans les embouteillages de fins de journées. Il a jusqu’ici comptabilisé quelques tubes radio (Little Bastard, Day by Day, Superlover…) et de prestigieuses premières parties de « modèles » britanniques tels The Rakes, The Thrills, Maximo Park, The Charlatans, etc…
Showstar n’est toutefois pas qu’un simple groupe pop. A côté des morceaux enjoués à jouer le front haut et la mèche dans le vent, il y a chez eux un côté plus introspectif, sombre.
Si la brit-pop des années 90 est une influence évidente, on se rappellera qu’elle n’était pas que musique de stade chez des groupes comme Blur ou Pulp, capables de distiller un certain malaise au long de leurs albums, passé les deux ou trois tubes locomotives. Il en va de même chez ces Belges.
C’est à partir de 2002 que la musique déjantée de Keep It Deep commence à rayonner depuis la région liégeoise jusqu’aux frontières de notre plat pays. Certains qualifient la coquille du groupe comme un rock dur, d’autres comme un métal planant ; coquille renfermant d’innombrables styles musicaux aussi diversifiés qu’à priori incompatibles : jazz, ska, blues, salsa, hard-core, post-rock, … leurs compositions progressives ne devançant presque jamais les six minutes à l’instar d’un King Crimson ou d’un Mr Bungle.
La première période de Keep It Deep engendre une démo « The day we came from the sky », suivie d’une série de concerts et d’un mariage avec les non moins barjots du groupe hannutois Royal Hotel. Après une longue pause consacrée à divers « side projects » (Yew, Rudy Mitcholl & the Rolanders, Firewall), les quatre musiciens se réunissent en 2009 avec un nouveau répertoire toujours plus complexe et un premier album prévu pour janvier 2011.
CHEESY CLICHE
Prenez un univers décalé et un style « catchy », ajoutez-y le souci du détail et de l’originalité, agrémentez le tout d’un jeu de scène survitaminé, voilà Cheesy Cliché !
Ce duo électro-pop liégeois est composé de Sandra, que les plus de 20 ans comparent à Nina Hagen, tant pour ses performances vocales que scéniques, et de Jean-Philippe, bidouilleur invétéré, chercheur de son et multi instrumentiste inclassable.
En 2009, quelques mois après leur formation, ils ont eu l’occasion de jouer un peu partout en Belgique (Verdur rock, Botanique, Wally Gat Rock, Fêtes de Wallonie,…), et également en France (Lille) pour la plus grande joie des noctambules
Un rap, pop et festif – concret, chaud et coloré.
Baigné d'influences urbaines, voyageant entre Marseille et New York, c'est avec des couleurs electro, funk, rock ou reggae que Tchenn explose le hip-hop pendant que Sauzé le maintient en place. Leur musique populaire et pourtant si particulière se glisse facilement dans la variété internationale, ou française.
Si en voyant leurs sourires nous pensons à de gentils rappeurs, à l'écoute des textes de Bern nous pouvons voir que sa vie ne manque pas de sel. Ancré dans le présent, celui-ci pose son regard sur les rapports humains, sur le monde en pleine mutation et sur l'engagement social individuel. Amour, drogue et folie y sont abordés de façon constructive.
En live, depuis plus de 6 ans, le trio dégage une énergie de feu ! Il a rassemblé un large public grâce à des spectacles où l'originalité du jeu va de pair avec la participation active des supporters.
Plan C... prépare Plan C... prépare un nouvel album ..et bientôt de retour en concert, car son désir est de vous rencontrer en Live !!
The KerbcrawlersThe Kerbcrawlers ont signé un pacte avec le rock abrasif des Melvins, Jesus Lizard et autres désaxés du genre (sic). Une recette qu'ils distillent au cours de prestations sauvages et incisives qu'ils ont pu donner aux quatre coins du pays ainsi qu'en France, en Allemagne ou aux Pays-Bas. Des prestations qui ont conféré au groupe, un statut de référence en matière de rock qui cogne aux tympans.
Le groupe fraîchement arrivé dans le Collectif JauneOrange (février 2010) tire son énergie et son inspiration des tréfonds de l'esprit humain à travers ses dérives et ses plus obscures déviances. L'aventure commencée en 2007 après le séjour en hôpital psychiatrique de leur leader, ne laissait présager qu'une suite torturée; en quelques mots, une musique sans concession.
Le groupe entre à nouveau en studio à la fin de l'année 2008 pour enregistrer son premier disque totalement autoproduit. De cette session « Do it Yourself », ils retiennent cinq morceaux qui figurent sur leur EP « Hunters' Parade » qui sort en août 2009, juste après leur victoire au concours Starting Rock à Bruxelles.
The Kerbcrawlers prépare actuellement l'enregistrement d'un disque.
Ce jeune groupe rap est composé de Murat et Rida. Ils vivent au Thier-A-Liège, un quartier qui est leur principale source d’inspiration.
Le style musical de Zaza Money voyage entre le rap américain et les sonorités purement africaines.
Zaza Money signifie « Richesse du Zaïre » et fait référence à deux choses ; la première étant un clin d’œil à l’image controversée de l’industrie musicale, la seconde étant d’évoquer la richesse culturelle que les membres du groupe, vivant aujourd’hui en Belgique, portent en eux, de par leurs origines Congolaise.
Not so many DJ’s
L'aventure NOT*SO*MANY*DJ's débute à Liège. A la casa nicaragua. Dans des soirées philanthropiques et décadentes organisées par nos soins sous l'égide de deux canons qui deviendront bientôt les Pussysta, combo le plus ardent de la cité. L'explosion des enceintes dès le premier soir scelle à jamais le destin de ces nuits sans fin : elles seront punks ou ne seront pas. Rebaptisées, forcément , Rock The Casa, empruntant leur visuel à la bande à Johnny Rotten, ces soirées sont animées avec des cd gravés sur des platines douteuses dans un esprit "chais pas le faire mais jle fais quand même". Qu'importe la façon pourvu qu'on ait l'ivresse. La presse se déchaîne : « Chaque enchaînement vous fera penser à Sid Vicious en train de préparer une pièce montée ». Mais les glaviots touchent au coeur, c'est exactement ça. La rumeur gonfle. Caserne Fonck, Escalier, Soundstation. Soirées eleKtrash, concerts de Montevideo, des Tellers. Du jour au lendemain c'est la gloire, les piscines de pognon et les filles faciles. Aujourd'hui, les NOT*SO*MANY*DJ's portent des cravates, défoncent leurs loges quand on ne met pas des tites étoiles dans leur nom et ne jouent plus que pour de l'argent. Une belle bande de branleurs.